François et Ivan souhaitent déménager dans un nouvel appartement à Paris. Ils trouvent leur bonheur dans un charmant immeuble haussmannien. Cependant, celui-ci se situe au premier étage sur rue. Il manque cruellement de lumière naturelle malgré une exposition Sud-Ouest.
Fiche projet :
- Propriétaire : François et Ivan
- Type de logement : Immeuble Haussmannien
- Ville : Paris
- Ouvertures : Fenêtres avec balustrade et volets pliants
- Pièce à éclairer : Pièces à vivre
- Modèle Espaciel installé : Réflecteur Balcon
CONTEXTE DE LA SITUATION
Suite à leur recherche d’appartement, François et Ivan ont le coup de coeur pour un logement dans un immeuble haussmannien en centre-ville. Ce lieu à l’architecture chic et classique contraste avec le foisonnement et le dynamisme du quartier. Bien dans leur nouveau logement François et Ivan apprécient le lifestyle parisien.
Malgré des hautes et larges portes-fenêtres, le logement reste sombre toute la journée du fait de sa situation au premier étage sur rue.
RECHERCHE DE SOLUTION
François et Ivan découvrent Espaciel en cherchant des solutions lumière sur internet. Ils consultent plusieurs blogs puis le site de l’entreprise qui leur permet de choisir la solution adaptée à leur configuration.
L’ensemble porte-fenêtre, loggia, balustrade et volets pliants est caractéristique du premier étage sur rue d’un immeuble haussmannien.
Le Réflecteur Balcon est parfaitement adapté pour éclairer le séjour de François et Ivan. Une loggia est une sorte de « mini balcon ».
RESULTATS OBTENUS
Après l’installation des 4 Réflecteurs Balcons, François et Ivan sont heureux de partager leur expérience avec Espaciel.
Les Réflecteurs Espaciel nous ont changé la vie en rendant notre intérieur naturellement plus lumineux !
Ivan Kricak
La condition pour déménager dans cet immeuble haussmannien était l’installation de Réflecteurs Espaciel. Aujourd’hui, François et Ivan sont complètement satisfaits de leur choix.
« Je recommande Espaciel à 100% ! La nouvelle résolution pour gagner naturellement en lumière quand on en manque chez soi. »
François Bonnat